samedi 20 octobre 2007

Beneath the sea, the underground, there's no sorrow.

Chloé est belle et douce puissance mille. Dans l'obscurité, les rayons de son mystère traversent l'épaule aimée derrière laquelle elle se cache. Un regard chopé et hop, c'est le charme.



Voluptueux et inquiétant comme un souvenir, son album "Waiting Room" n'a que peu de rapport avec le nightclubbing. Quelle activité idiote, ce nightclubbing. Idiote comme le commentaire de Libération qui barrait la pochette : "Un car de CRS ne suffirait pas à nous arrêter de danser". Marketer le truc dancefloor alors que Bat for Lashes peut limite aller se rhabiller, pfff.

On danse rarement. Il s'agit plutôt peut-être de se transporter juste à côté de soi. 2000 light years from home en toute intimité dans sa propre antichambre. Et de constater (effrayé ? émerveillé ?) que le temps passe.

Le morceau suivant, c'est un peu comme les sirènes qui t'appellent - tu t'enfonces - c'est tout doux :

Chloé - Beneath the Underground

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